Chronique de Biollante sur Verdammnis

C’est un monstre insaisissable, affranchi des étiquettes, des codes, des conventions. On y trouve des mots chantés, hurlés, rappés. De la guitare, du synthé, des clavecins, de la harpe. Du sang, des larmes, une poésie aérienne et l’amertume irrespirable d’un parpaing qui nous tombe dans la gorge. Surtout, on y sent une sincérité absolue dans la démarche et les mots, une envie de jouer à la fois au monstre et au savant fou sans perdre de vue la cohérence et l’impact du morceau, sans complaisance, sans paresse. En voilà un album impressionnant.

A lire ici: https://www.verdammnis.com/reviews/biollante-j-espere-que-tu-danseras-quelque-part